Les cavaliers
2014
Molière 2016 du théâtre privé
Auteur
- Joseph Kessel
Adaptation et mise en scène
- Eric Bouvron
Co-mise en scène et collaboration artistique
- Anne Bourgeois
Lumière
- Stéphane Baquet
Costumes
- Sarah Colas
« Bande annonce du spectacle »
Distribution
Eric Bouvron
Grégori Baquet puis Benjamin Pennamaria
Khalid K.
Maiä Guérite puis Vanessa Kryceve
Quelques notes de Anne Bourgeois
En résumé
Le jeune et orgueilleux Ouroz participe au tournoi le plus important d’Afghanistan, le Bouzkachi du Roi. Il échoue, tombe de son cheval, se brise la jambe, et doit retourner dans sa province pour faire face à son père, le grand Toursène, qui porte la fierté et la gloire d’une famille.
Accompagné par son fidèle serviteur Mokkhi et Jehol, son cheval, il rencontrera des êtres incroyables, traversera des lieux d’une rudesse extrême.
Adapté du grand roman de Joseph Kessel, c’est un long et périlleux voyage initiatique aux confins des steppes afghanes.
Presse
La Provence
« Un tapis, des comédiens pieds nus, les steppes de l’Afghanistan et une épopée littéraire de 700 pages (de Joseph Kessel) miraculeusement transformée en une heure vingt intense sur scène.
Les Cavaliers est un grand succès, non seulement parce qu’il sert à merveille la langue de Kessel, brillante, aventureuse et drôle également, on aurait tort de l’oublier. Et puis parce qu’il nous prend par la main pour nous faire voyager au bout du monde, autour des relations père-fils formidablement universelles. Un « Indiana Jones et la dernière croisade (où père et Fils, Connery et Ford, rivalisaient sans cesse) en plus puissant et plus philosophique s’entend.
Gregori Baquet, qui vient de glaner un Molière de la révélation il y a quelques semaines, campe ici le fils, Ouroz fier et fougueux, Eric Bouvron incarne le père, Toursène, intraitable jusqu’au bout. Quant à Khalid K, ce chanteur-vocaliste-musicien-bruiteur tourne auteur des interprètes et apporte une vraie plus-value à l’ensemble, bien plus qu’une simple ponctuation, au-delà même d’une respiration rythmique. Sans tomber dans l’écueil du conte exotique, la pièce nous parle de dignité avec sens et magnificence. »
Télérama TT
« (…) Le chef-d’œuvre de Kessel. (…) L’histoire se déroule comme un conte initiatique. (…) Le spectacle mêle avec bonheur théâtre et danse. »
Le Vaucluse
« Mise en scène créative, inventive, superbement suggérée, univers sonore hallucinant et envoûtant, jeu magistral des comédiens. »
La Marseillaise
« Dans la lignée de Peter Brook. »
Le Monde
« Très belle épopée dans les steppes afghanes. »
Le Point
« Incroyablement poétique et musical. Envoûtant ! »
Théâtral Magazine
« Une pépite. »

Anne Bourgeois